Et les mots tournent, s'enchainent, comme une musique sans fin. Parfois, vive et enthousiaste, souvent, grave. Une petite musique, qui essaye de donner un peu de consistance à ce néant dans lequel ce qui me sert de cervelet baigne. J'en deviens sourd, le volume est bien trop élevé, il me faut l'arrêter, le silence, le silence, le silence, ne serait-ce qu'une minute. La beauté, la béatitude.
Chapitre suivant.
mardi
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